vendredi 30 juillet 2010

Ce soir, sors tes couverts !




Ok, ok, j’avoue, je me suis planté. En postant mon premier billet hier, j’étais persuadé que le suivant attendrait une bonne semaine, j’avais tort. Mais on est jeudi, et le jeudi soir, à la télé, c’est… Fourchette & sac à dos sur France 5.

jeudi 29 juillet 2010

Ecrire ou pleurer ?


NOTE : billet publié à l'origine sur Facebook

Depuis ado, je suis habitué à écrire. Ecrire tout et n’importe quoi, du pauvre journal familial tiré, pardon, recopié à deux exemplaires jusqu’au dossier de huit pages ayant l’honneur de la couverture d’un vrai magazine, en passant par un blog à l’intérêt tout relatif. Bref, pisser de la copie, c’est ce qui m’a toujours plu avant même les sujets à propos desquels pisser, justement. A tel point que j’en arrive aujourd’hui à écrire sur l’écriture, une vraie mise en abyme !


En fait, si j’en arrive là, c’est surtout parce que depuis quelques mois, mon activité professionnelle me demande un travail d’écriture nettement plus réduit, tant dans la quantité que dans la stimulation intellectuelle nécessaire pour le faire. Et ayant lâchement abandonné mon blog, je me retrouve aujourd’hui à ne plus gratter grand chose. Comme un chien à qui on ne donne aucun os à ronger, me voilà réduit à grogner en silence, prêt à bondir sur la moindre petite chose à gratter. Alors j’ai pris une résolution, si l’écriture ne vient plus à moi, j’irai à elle ! Après tout, Facebook me semble l’outil formidable pour ça.



Entre deux clics « j’aime », le partage d’une vidéo à la con et quelques jeux de mots placés dans des commentaires de statuts, je peux peut-être glisser des bafouilles un peu plus longues. Pas nécessairement plus intéressantes, mais qui me permettront au moins d’évacuer ce que je peux avoir à dire, aussi futile que cela puisse être. Le tout sans devoir repasser par la création d’un blog : après tout, je n’ai pas besoin du large et anonyme public d’Internet ! Mes « amis » facebookiens (je ferai une repasse d’un ancien billet sur ce thème d’ailleurs, si je remets la main dessus) me suffisent, au moins je limiterai le nombre de gens à ennuyer avec mes états d’âmes changeants, enthousiasmes discutables et coups de gueule très subtils !



Alors voilà, si vous me faites l’honneur de venir lire ces bafouilles, je serais très heureux de lire vos commentaires. Parce que bon, même si je fais ça avant tout pour me faire plaisir, restons lucide, j’ai un égo comme tout le monde et j’aime le voir flatté ou bousculé, selon les situations. Et pardonnez-moi si la prochaine n’arrive pas très rapidement, je reprends doucement l’habitude de dépasser les 500 signes et j’ai le cerveau qui fume !